Je l’ai donc expliqué aussi poliment que possible : nous avons entendu et réentendus ces titres jusqu’à épuisement, au point qu’ils font aujourd’hui partie de nous-même. Pas un reportage télé, pas une série (Teardrop est, par exemple, le générique US de Dr House) sans un emprunt musical à cet album ou du moins celui d’une empreinte sonore, quand la musique a été réalisée par d’autres. Cette époque faste de la musique électronique s’est poursuivie en 2001 avec le Play de Moby, lui aussi entendu jusqu’à l’écœurement et pourtant c’est toujours aussi bon…
Vous pouvez donc découvrir avec Teardrop l’ambiance parfaite de ces années « fin de siècle » avec un peu de mystère et une forme de mélancolie électronique. Matrix avait même fini par nous convaincre que l’avenir, non content d’être électronique, serait virtuel.
Je vous laisse vous replonger dans vos souvenirs…